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Hermine Karagheuz lit René Daumal
> Conférence donnée le 20 septembre 2016 dans le
cadre du Festival International du Film Grolandais à la Cave
Poésie de Toulouse. Lectures d'
Hermine Karagheuz.
> Hommage à l'actrice
Hermine Karagheuz, publié sur le blog Le Livre sans Visage en mai 2021
> ... de ses idoles, l’actrice
Hermine Karagheuz,
à lire un choix de poèmes et de proses de René
Daumal – parce que 2013 va être raide et qu’il
faudra s’habituer à des ascensions analogues.
Hermine Karagheuz
L’énigmatique et stellaire
Hermine Karagheuz a
joué au théâtre sous la direction de Roger Blin
(« La Nuit des assassins »), Patrice
Chéreau (« La Dispute »), Claude
Confortès et Wolinski (« Je ne veux pas mourir idiot
»), Laurent Terzieff (« Ce que voit Fox ») et
Hans ...
> Au quatrième jour, nous avons entendu par la voix de
l’énigmatique et stellaire
Hermine Karagheuz,
René Daumal. Encore une fois « L'entendre comme vous
devriez l'entendre ».
> ... événement de la résidence Satan
Trismégiste de Pacôme Thiellement à la
librairie le Monte-en-l’Air, Paris XX, le 22 janvier 2014.
Avec
Hermine Karagheuz (qui lit La maison des morts et
Les collines de Apollinaire) et Olivier Mellano. ...
> ... sans dehors / Un Dehors sans monde, édité par Carton Records en 2021. Il a collaboré sur des soirées consacrées à des poètes (Nerval, Apollinaire, Le Grand Jeu, Jarry) avec
Hermine Karagheuz entre 2013 et 2017. Il apparaît aux côtés d’
Hermine Karagheuz dans le film de Fabienne Issartel Chacun cherche son train en 2016. Après son retrait des réseaux sociaux en octobre 2020, il a tenu un blog, Le Livre Sans Visage, et diffusé une newsletter, Dernières nouvelles de l'impossible, ...
> ... comme le clocher de notre
village. Cette dernière soirée est surtout une
façon de dire « au revoir » (comme dirait Pierre
Sérisier des derniers épisodes des séries
télévisées) ; une façon aussi
d’ouvrir sur autre chose. A trois, avec
Hermine Karagheuz et
Olivier Mellano, on reprend le fil de toute cette résidence
à partir de Shining, des ours et de Guillaume
Apollinaire. Hermine ouvre en lisant « La maison des morts
» (sur Alcools) et termine avec « Les collines
» (dans Calligrammes). ...
> ... Pourquoi ? Parce
qu’il a associé la quête spirituelle «
traditionnelle » (Guénon, les Upanishads, la
Baghavad Gîtâ, etc.) et la pataphysique. Parce
que c’est un poète, aux visions terribles et à
la rigueur d’acier. Et parce que
Hermine Karagheuz —
une de mes actrices préférées depuis que
j’ai vu, vers vingt ans, Out 1, Duelle et
Merry-go-round de Jacques Rivette et que j’avais
évoquée, sans la connaître, dans mon essai
L’Homme électrique — en déploie
les mots ...
> ... ; le spectateur n’est plus
qu’un tam-tam ivre de résonance. Personne n’a
fait pénétrer le poème de Rilke comme
ça, avec ses anges et ses amoureuses mortes, ses animaux,
ses marionnettes et ses forains… Pas besoin de musique,
quand
Hermine Karagheuz scande le texte, on entend comme un violon
au loin, dur mais sensible, électrique et viscéral,
soupirant depuis le chapiteau de tous les poètes
sauvages.
https://www.facebook.com/pages/10-POUR-FINIR-ET-COMMENCER/192811017469099
Inhabitable
Et ...
> ... ce soit une question de vie ou de mort.
D’où le vœu prononcé par Artaud dans
« Faites le mal » (ce poème, très tardif,
des derniers mois du Momô, repris en musique par Eyvind Kang
et Jessika Kenney, et lu magnifiquement à haute voix par
Hermine Karagheuz), qu’il veut vivre «
dans un monde pur » et qu’il ait autour de lui
« des purs, des héros purs ».
On ne peut pas comprendre Artaud ou
Van Gogh si on ne comprend pas qu’il n’y a rien de
ridicule à vouloir être entouré ...
> ... en avant) mais en l’utilisant pour célébrer également tous ceux que j’estimais. Facebook m’a aidé à faire connaître mes dates de signatures de livres, mes « événements » et rencontres, mais j’ai aussi pu régulièrement parler de
Hermine Karagheuz, de Delfeil de Ton, de Virginie di Ricci, de Bertrand Mandico, de Stéphane Legrand, de Chloé Delaume ou de Captain Cavern. Sans Facebook, il n’est pas sûr que les « Citadelles en Suspens » à la galerie Anne Barrault, « Satan ...
> ... forment une trilogie. Trilogie d’admirations, trilogie d’artistes que je connais et apprécie comme personnes alors que je les admire comme créateurs. J’espère que la vie me laissera le temps d’écrire sur (entre autres) Delfeil de Ton,
Hermine Karagheuz, Arnaud Baumann, Olivia Clavel, Captain Cavern, Placid, Muzo, Scott Batty, Joyce A. Nashawati, Eyvind Kang, Jessika Kenney, Delphine Dora, Jakuta Alikavazovic, Stéphane Legrand ou Sarah Chiche. Écrire sur un artiste vivant est une ...
> ... par Bagheera Poulin qu’elle est apparue dans ma petite vie, en 2011. Après une conversation en terrasse de café avec Bagheera où je lui parlais de mon admiration pour les actrices des films de Rivette, Juliet Berto, Bulle Ogier,
Hermine Karagheuz… Soudain, elle m’arrête : « Mais Hermine je la connais ! Je la connais très bien, tu sais. Si tu veux, je te la présente. » Énorme choc. Et puis c’est un dîner chez Bagheera, et nous parlons de poésie. Et Hermine raconte ...
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